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Tribune. On se souvient de la raideur du premier confinement : le 16 mars, en vue de juguler l’épidémie de covid-19 qui menaçait d’engorger le système hospitalier du pays et donc d’anéantir la garantie de la santé publique, le président de la République fit part à ses 67 millions de concitoyens de sa décision de les séquestrer.

Alors que le confinement a été décrété le 30 octobre sur le territoire français, environ 800 migrants vivent dans les rues de Calais. Des mesures ont-elles été prises par les autorités ? Qu’est-ce qui est prévu pour empêcher la propagation du coronavirus dans les camps ? La préfecture du Pas-de-Calais répond aux questions d’InfoMigrants.

"Reprise", c'est le mot de l'éco, cette semaine. La deuxième vague de l'épidémie de coronavirus et le reconfinement décidé en France, ont en effet assombri l'horizon économique.

Des dizaines de milliers de personnes ont manifesté mardi à Dacca, au Bangladesh, appelant au boycott des produits français et brûlant une effigie du président Emmanuel Macron. Ce dernier a même été accusé d’« adorer Satan», après qu’il a défendu la liberté de caricaturer le prophète Mahomet.

L'enquête sur l'assassinat du professeur décapité vendredi dernier en banlieue parisienne a été confiée à un juge d'instruction pour "complicité d'assassinat terroriste". Elle vise notamment le père d'un élève et un militant islamiste radical.

Les réseaux sociaux ont joué un rôle dans l’attaque perpétrée, vendredi 16 octobre, contre le professeur Samuel Paty, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). Des vidéos avaient été postées contre lui, exigeant sa démission.

Cinq nouvelles personnes ont été interpellées dans la nuit de vendredi à samedi après la décapitation d'un professeur d'histoire près d'un collège de la banlieue ouest de Paris. Au total, neuf personnes sont en garde à vue.

C’est notre époque qui souffre d’un manque de curiosité pour la langue arabe en général. C’est un moment creux, dû probablement à l’islam détourné.

L’intégration de l’arabe à l’enseignement de langues étrangères dans les écoles publiques en France est devenu un sujet de tensions. Ces dernières sont ravivées, dans un contexte marqué par les polémiques autour du projet de loi sur le séparatisme.